Sujet: Kara → Fight against the World Lun 5 Mai - 16:21
crédits : underthedometublr.
Kara Willow HermessNous sommes des anges déchus qui nous acharnons à remonter vers notre céleste origine.
PRÉNOMS :Kara Willow + NOM DE FAMILLE :Hermess + ÂGE :19 ans + ORIGINES :Fort Bliss + ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE :Mannequin (pas brillante dans ses études) + STATUT CIVIL: célibataire, mais qui voudrait d'une fille si bornée ? + QUALITÉS/DEFAUTS :Kara a toujours été → Compétitrice → Battante → Agressive → Snob → Bagarreuse → Hautaine → Provocatrice → Méchante → Peste → Sans coeur → elle n'arrive pas à aimée les gens, peut-être parce qu'elle se sentait comme le vilain petit canard → il lui faut juste quelqu'un d'assez fort pour la ramener sur terre... Pas beaucoup de qualités en fait... + AVATAR :La merveilleuse Gabriella Wilde + GROUPE :BLOW IT AWAY
Caught in the storm
Nous demandons un minimum de 5 lignes pour les réponses aux questions. N'hésitez pas à développer vos réponses pour que lui puisse vraiment comprendre le comportement de votre personnage face au dôme)
+ Qu'est-ce que l'arrivée du dôme a changé dans ta vie ? → L’arrivée du dôme a entièrement chamboulé ma vie, et quand il ne sera plus là, si un jour cela peut arriver, il aura quand même toujours des répercutions. Il a inévitablement détruit toute ma carrière. Moi qui m’étais donné corps et âme, avait sué sang et eau pour pouvoir parvenir à mes fins, j’étais à deux doigts de décrocher ces foutus contrats, mes tous premiers contrats que j’étais enfin parvenue à obtenir avec une des plus grandes et réputées marques de vêtements. Encore quelque efforts, et je serais peut-être parvenue à en devenir l’égérie. Mais désormais, tout ça, ça ne compte plus, parce que mes contrats sont à Chicago, et que je suis bloquée à Fort Bliss par ce foutu dôme. Je me suis dit, plusieurs jours après son apparition, que ce majeur incident allait peut-être pouvoir être rattrapable, puisque après tout désormais Fort Bliss fait le buzz, je pouvais peut-être être un icône du genre : le mannequin du dôme. Mais non ! Ce dôme rime avec ennuis et échecs, et rien d’autre !
+ Quels sont pour toi les points positifs de ce dôme ? Et les points négatifs? → Les points positifs ? Mais ce dôme, c’est un énorme point négatif à lui seul ! Je veux sortir, je veux m’enfuir d’ici. J’ai toujours aimé Fort Bliss, mais jamais je n’aurais voulu y être enfermée. Tout d’abord, on ne peut pas sortir, ce qui signifie que la vie y est exécrable. Nous manquerons d’eau, d’électricité, de médicaments, de nourriture. Même si nous nous débrouillons pour le moment, cela ne signifie pas qu'on survivra encore longtemps ! Ce dôme est donc clairement une menace sur notre vie. De plus, à cause de lui, ma carrière est foutue en l'air ! Toute ma carrière, ce pourquoi je me bats depuis que je suis mannequin. Et ma carrière, c'est moi. Je n'ai d'yeux que pour ça, et pour rien d'autre. Le dôme représente véritablement une barrière entre moi et ma carrière. C'est comme si j'avais été coupée en deux. En fait, le dôme m'a déjà enlevé une partie de moi, et menace chaque jour de plus en plus de m'enlever la part vivante qu'il reste en moi. Un point positif ? Peut-être. Grâce au dôme, j'ai légerment pu renouer le contact avec mes parents, à qui je ne parlais plus depuis un certain temps. En vue de la gravité de la situation, nous sommes dans l'obligation de nous soutenir l'un l'autre, et bien que je donne l'impression de ne pas les porter dans mon coeur, je ne peux pas m'empêcher de tenir à eux, ce sont mes parents, pas de simples étrangers. J'ai aussi pu me rapprocher de mon cousin, Warren, pour qui j'avais déjà beaucoup d'affection.
+ Comment imagines-tu ton avenir dans cette ville ? → Il n’y en a aucun, nous allons vers une mort certaine, si personne ne fait rien. L’équipe du maire de Fort Bliss, ainsi que toutes les forces de l’ordre n’agissent pas comme le faudrait efficacement. Ils essaient vainement de calmer les foules, mais ils ne font que de semer la discorde. La police n’aura bientôt plus aucun pouvoir, avec tous ces groupes rebelles dans chaque coin de rue. Fort Bliss tournera très promptement à l’anarchie. Ce qu'il faut en réalité, c'est quelqu'un qui puisse rassembler la population et leur demander à tous de contribuer à trouver une solution afin de s'échapper de ce dôme, ou de le vaincre. Mais puisque personne ne le fait, il faut que je trouve moi-même le moyen de franchir ce dôme, avec Warren et mes parents si possible, mais les autres devront se débrouiller seuls, je me fous d'eux, ils n'ont qu'à prendre l'initiative eux-mêmes, comme moi je le fais. De toute façon personne ne se soucie de moi. J'aime Fort Bliss mais s'il n'y a aucune possibilité de carrière ou tout simplement de vie convenable pour moi ici, il faut partir. C'est la seule et unique solution.
+ Quels sont tes petites manies, tes habitudes ou tes tics? On veut tout savoir. → Mon principal tic est d'attacher mes cheveux en un épais chignon lorsque je réfléchis ou que je suis contrariée, ou en mauvaise posture, bref à chaque fois que j'ai le cafard, ou que ça ne va pas. → J'aime boire mon café ou mon chocolat à la cuillère, je suis longue et ça ennuie les gens autour de moi qui sont harassés et n'attendent qu'une chose : que je finisse ce maudit café que j'ai commencé il y a un heure ! → Je me gratte toujours le dos de l'épaule quand je ne sais pas quoi faire, ou quand j'ai mon portable j'envoie de faux SMS incompréhensibles dans l'unique but de montrer aux autres que je ne m'ennuie jamais, moi. → Si quelqu'un me suis ou me provoque, je rentre immédiatement dans le lard. C'est un jeu pour moi, je trouve ça marrant de me payer la tête des gens, et je ne m'écrase jamais devant eux, ou presque. → Quand je n'arrive pas à m'endormir, je ferme les yeux et m'invente des histoires du genre : je suis dans le coma depuis un mois et je me réveille, ou je me bats avec des pirates. Si quelqu'un est au courant un jour, je le tue. → Je ne me promène jamais sans mon peigne sur moi. Toutes les dix minutes, je me sens obligée de me peigner les cheveux, surtout les petites boucles blondes rebelles que j'ai sur la pointe de ma longue chevelure. → Quand je vais dans un lieu public, comme un jardin publique, je ne peux m'empêcher, s'il n'y a personne dans les parages, ou que des vieux, de courir comme une dingue vers balançoires, toboggans et compagnie... J'adore ! → Quand je vais (enfin allé) dans une boutique de fringues, et que la vendeuse ou le vendeur ne me plait pas, je fais mine d'essayer des vêtements, de lui demander des conseils sans cesse pendant au moins 20 minutes, et puis je lui adresse un "Au revoir" bien distinct lorsque je quitte le magasin. Les mains vides, bien entendu. Parfois je marmonne "C'est trop cher ici" ou d'autres phrases de ce type. J'adore ! → J'ai un 7 inscrit en chiffre romains sur mon poignet droit (VII), et j'ai une folle admiration pour les tatouages ! C'est ma passion, alors parfois je prends un marqueur et je m'en fais moi-même ! C'est mon trip ! → Quand il fait chaud je mets des lunettes de soleil avec une monture imprimé camouflage, je les adore, tout simplement !
PRÉNOM/PSEUDO :Jaipasdepseudodoncappelezmoi : Abygaëlle + AGE :17 ans + COMMENT AS TU CONNU LE FORUM :par partenariat + FREQUENCE DE CONNEXION :Grand max : 5/7j (sauf vacances) + INVENTE OU SCENARIO? :inventé + TON DERNIER MOT :Le forum est magnifique et l'idée est extra
Sujet: Re: Kara → Fight against the World Lun 5 Mai - 16:44
crédits : underthedometublr.
Wreck of the day
→ Before
Ma vie en elle-même n'a jamais rien eu de palpitant, jusqu'à ce que je sois repérée pour être mannequin. Je suis née, comme tout le monde, de ma mère et de mon père, ensuite j'ai été gardée par une nourrice j'imagine, puis est venu le moment où j'ai du aller à l'école. J'ai toujours vécu à Fort Bliss, je trouve que c'est une petite ville chaleureuse. Je l'adore, en fait, elle est belle, diversifiée, pleine de vie et authentique. Je ne savais pas grand chose de ma vie, mais une chose était sure : je ne quitterai jamais Fort Bliss. Ma mère et mon père bossaient déjà dans la même boîte, c'est là qu'ils se sont rencontrés, j'imagine. C'est une entreprise de télécommunications, je ne sais pas exactement ce que l'on y fait. Et je m'en contrefiche. Mes parents ne m'ont jamais vraiment aimée, je crois même que je n'étais pas une enfant désirée. J'ai toujours eu l'impression d'être le "vilain petit canard" de la famille. Enfin, famille dont, hormis mes parents, je ne connaissais qu'un oncle qui vivait seul à Chicago, et mon cousin Halem qui lui aussi vivait seul ici. Je crois que même au sein de leurs familles, mes parents ont réussi tout faire déraper. Après, on se demande pourquoi je suis comme ça aujourd'hui ? Je n'ai fait que suivre les modèles paternel et maternel. En fait, déjà quand j'étais petite je me suis révélée être une véritable source de problèmes. Mes parents, qui n'ont jamais roulé sur l'or (nous vivions dans une petite maison assez éloigné du centre-ville) et qui n’avaient certainement pas de temps à perdre avec moi, et surtout pas le pouvoir de quitter leur boulot en claquant des doigts, ne durent cesser d'aller chez un médecin, puis ensuite à l’hôpital quand le problème devint plus grave. En effet, je ne suis pas née prématurément, j'avais la bonne taille et j'étais entièrement développée, cependant je ne pesais pas le poids nécessaire pour ma bonne santé, et quoi qu'on me donne, quoi que l'on m'eut fait, je ne prenais pas un gramme. Ce calvaire dura sept mois, mes parents avaient une vie de fous, et devaient suivre un rythme très particulier pour me nourrir, quitte à se lever plusieurs fois par nuit. Ma mère, qui avait était souvent absente au bureau, a même failli perdre son emploi. Au final, j'ai commencé peu à peu à grossir, et il s'avéra qu'en fait je grandissais simplement à mon rythme. Puis, deuxième épreuve pour mes parents, je dus aller à l'école, où j'avais clairement décidé de ne rien faire. Régulièrement, la directrice de l'école appelait mes parents au téléphone ou les convoquait pour leur faire signaler mon comportement intenable. Je me battais souvent à l'école, avec les garçons de ma classe. Les filles, je les ignorais toujours. J'étais très masculine. En plus de ça, le travail que je fournissais était souvent insuffisant. Je n'aimais pas. Était-ce véritablement de ma faute ? D'après mes parents, oui. Finalement, j'ai arrêté mon cursus scolaire avant d'entamer une licence, qui de toutes manière ne m'attirait aucunement. Et de toute évidence, mes parents ne voulaient pas mettre le prix fort pour m'inscrire dans une université loin de chez nous, compte tenu de ma motivation, et de mon côté je ne désirais nullement travailler.
→ After
Ma vie a basculé un jour, alors que je croyais encore que j'allais finir ma vie en vagabondant de rue en rue, ou en livrant des colis toute la journée, si j'avais un peu de chance avec moi. C'était l'année dernière. Je me promenais dans le centre ville, comme j'avais terminée mes études, et que je ne parlais plus beaucoup à mes parents ces temps-ci, car ils me ressassaient sans cesse d'aller chercher un petit boulot, de commencer à réagir car j'allais entrer dans la vie active. Les discussions avec eux tournaient vite à l’altercation. Je sais qu'ils avaient raison, mais je m'en foutais. J'avais trouvé un moyen de me faire aimée, sur mes dernières années d'études, et de devenir une fille plutôt populaire et appréciée. J'avais laissé tomber mes vêtements de garçons manqués, et mes bagarres. J'avais peu à peu remplacé tout cela par des accessoires de filles, et j'avais puisé une nouvelle force de caractère dans la provocation et l'humiliation. Mieux que les poings pour blesser physiquement, les mots pour briser tout ce que l'on a à l'intérieur. J'étais forte à ce jeu, si forte que les gens préféraient se rallier à moi plutôt qu'être en face. J'étais devenue une vraie peste, mais la meilleure des pestes. La plus forte du lycée. Je me suis découverte conquérante. Et je pense que je l'avais déjà été lorsque, plus jeune, je me battais aux poings contre des garçons qui mesuraient une tête de plus que moi. Je n'ai pas peur de l'ennemi, même si c'est Rambo que j'affronte. Aujourd'hui, avec du recul, je me trouve cruelle, mais c'est la loi. Marche ou crève.
Ma vie a donc changé devant les boutiques du Centre-Ville. Je marchais au gré de l'air dont la chaleur commençait à s'emparer de ma peau. J'étais en robe, scandales, les cheveux emmêlés suivant les courbes du vent agréable de Fort Bliss. Naturelle. Je n'avais rien à cacher. Je me retournais de temps en temps pour faire face à une vitrine. Plusieurs fois, j'aperçus une femme, simple, discrète et perdue parmi les autres habitants qui vagabondaient et quelques touristes perdus, qui me suivait toujours à égale distance, à quelques mètres. Je n'hallucinais pas, cette femme me suivait. Que me voulait-elle ? D'un seul coup, je m'étais retourné et je m'étais mise à marcher brusquement vers elle jusqu'à lui faire face, assez proche d'elle pour qu'elle se sente mal à l'aise.
- Tu veux quoi à me suivre ? - J'ai un job à vous proposer. Si ça vous intéresse. dit-elle d'une traite.
Un job ? Je la regardai et lui dis que ça ne m’intéressais pas. Puis elle m'avait fixé, m'avait dit qu'elle me regardait souvent marcher dans les rues de cette ville, alors qu'elle était en vacances ici (elle était chargée de recruter des mannequins pour des marques locales). Qu'elle était sure que je ne dirais pas non à son offre. En effet, je n'avais pas dit non, mais comment refuser ? Mannequin ? Mannequin ! Le métier de rêve, autant dire, poser pour trois photos par mois et gagner des dizaines de billets en échange. Quoi de plus beau. Il s'était avéré que j'avais les bonnes mensurations. C'est vrai que j'avais toujours été assez mince, depuis déjà bébé en fait. Dire que des milliers de filles se battaient chaque jour pour le devenir. Moi je ne l'avais même pas chercher. J'avais trouvé un job, en effet, mais mes parents décidèrent de m'ignorer, ne trouvant pas que c'était un véritable travail, et que je ne servirais plus à rien dans moins de cinq ans. Ça, ce n'est peut-être pas faux. du coup je suis partie vivre chez mon cousin, Warren qui vivait lui aussi à Fort Bliss. J'avais fait déjà quelques clichés à Fort Bliss, mais dans un bâtiment simple, mais je voulais plus, je voulais m'imposer, que lorsque l'on pense mannequin, on pense Kara Hermess. Et puis si une femme était venu jusqu'à moi pour me le proposer, ce foutu job, c'est que j'étais unique, indispensable. Il faut que je gagne ce jeu ! Ce jeu mondial même, puisque je pars souvent en courts voyages dans les grandes villes comme Chicago récemment, même si bien sûr je ne quitterais jamais Fort Bliss, même s'il n'y avait rien pour moi ici.
→ The dome
C'est alors qu'il est apparu, le dôme, le 7 octobre 2013. Ce foutu dôme ! Ce dôme qui, et c'est la seule chose de toute ma vie qui ait su le faire, a immédiatement stoppé ma carrière. Ma carrière en pleine expansion, alors que j'allais obtenir des contrats avec de grandes marques. Ça y est, je commençais à être réputée, enfin... Mais ce dôme m'empêche d'atteindre mes contrats, les contrats pour lesquels je donnerai volontiers ma vie. Et dire que je revenais de Chicago. J'aurais pu me trouver de l'autre côté du dôme, bordel ! De l'autre côté. Je me revois encore à prendre l'avion à l'aéroport de Chicago, un petit avion qui ressemblait sacrément à un avion de tourisme. Je me rappelle mon atterrissage dans un pré bien dégagé. Je me sentais heureuse de revenir ici, sur ma terre natale. A cause de ce foutu dôme, ma vie est complètement fichue. Et ce n'est pas le maire que pourtant j'appréciais quelque peu, avec ses mesures de sécurité totalement inutiles, qui va nous sortir d'ici. Ce qu'il me faut, c'est n'importe quoi qui puisse me sortir de là, que je puisse m'échapper, quel qu’en soit le prix. J’emmènerai peut-être Warren et mes parents si je le peux, mais je me fous entièrement des autres, ils n'ont qu'à se battre comme moi.
Il faut que je parte !
Clara A. Brown
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Sujet: Re: Kara → Fight against the World Lun 5 Mai - 17:28